jeudi 31 janvier 2008

Repas du midi




Nous avons poursuivi notre promenade sur le fleuve et après s'être rempli les yeux, y en a qui voulaient se remplir la panse !


C'est ce que nous avons fait en stoppant dans un village de "bozos" (pêcheurs).


Nous nous sommes régalés de poissons frits et de beignets à base de farine de mil ce qui a amputé notre budget de 825 F CFA pour 4 (1 euro 20).


Non ce n'est pas notre pinasse qui est en réfection mais celle d'un pêcheur du village.



Ce soir nous allons commencer à faire la fête (festival du fleuve Niger).

Arrivée à Ségou








Nous voilà au Mali, à Ségou.


Nous sommes hébergés par un ami malien, dans des "cases de passage".

Après un bon coup de nettoyage à l'eau de javel, c'est presque un palais !



Nous avons loué une pirogue appelée localement "pinasse" (rien à voir avec celles d'Arcachon!).


Nous avons remonté sur une dizaine de kms, le Niger : paysage magnifique, fleuve majestueux, calme, reposant et plein d'oiseaux pour nous accompagner.



Nous nous sommes arrêtés dans un village de potiers où les femmes préparent de très beaux objets sans utiliser de tour. Régalez-vous avec les quelques photos suivantes.

mardi 29 janvier 2008

Mardi29 - retour à Bobo Dioulasso




Nous sommes revenus passr quelques intants de repos dans la deuxième ville du B.F.
Nous avons profité de ce temps pour faire de belles visites : le marché, les artisans... certain (1) ont même pratiqué les massages effectués par de "gros noirs". Assez différents des massages thaîlandais : affalé sur une vieille natte, il s'est vu labourer les dorsaux et isquio-jambiers : fragiles ou douillets s'abstenir ! Ceci a au moins facilité le solde d'une tourista récal !
Nous sommes allés voir des artisans forgerons qui coulent le bronze et qui confectionnent des pièces de grande qualité. On est plus près du travail de l'artiste que de celui de l'artisan. Pour les connaisseurs, ils utilisent la technique de la "cire perdue", technique utilisée par les égyptiens il y a plus de 4000 ans et par les européens de nos jours pour confectionner des pièces très difficiles à produire telles que les ailettes des turbines pour avions...
Une petite virée dans un "cabaret" local = un bar pallotte à bière de mil avec groupe local de balafon (xylophone) + djembé : ambiance locale assurée. Demain matin, nous repartons vers le Mali vers un lieu paradisiaque (parait-il) situé sur l'affluent du fleuve Niger, le Bani.
Pour ceux qui nous suivent sur des cartes, ce lieu est situé entre Ségou et San.
Nous avons prévu d'atteindre Ségou, jeudi pour participer au festival du fleuve qui dure 3/4 jours et qui rassemble les plus grands chanteurs (dont Salif Keita et un ami de Francis, Mangala dont la photo est à votre droite) et les plus grands goupes maliens. On va en avoir plein les oreilles après en avoir eu plein les yeux.
A bientôt au grè de nos connexions internet...
A propos, pour le 4x4, tout va bien : les pneus tiennent le coup et la clim marche.
Nos amis fêticheurs font vraiment bien les choses... sauf que Francine n'a toujours pas son deuxième jumeau !

Lundi 28 Janvier - Banfora (Burkina)




Nous avons effectué de belles visites dans cette bourgade agricole.
- Lac avec des hippopotames (mais cela devient d'un commun !).
- les pics de Sindou qui sont à une cinquantaine de kms par la piste, après avoir traversé de magnifiques villages pleins de couleurs et aux multiples greniers.
C'est un environnement surprenant de rochers torturés par le vent et la pluie ! Cela nous rappelle les Météores en Grèce. Ce lieu est toujours considéré comme sacré.
Les jeunes garçons y font leur "initiation". C'est là que les anciens leur transmettent les secrets ancestraux et leur apprennent à survivre pendant 2 mois.

dimanche 27 janvier 2008

Bobo-Diolassou




Et la clim n'est toujours pas réparée. Mais çà va venir !
Nous avons visité la ville de Bobo (musée de la musique), les vieux quartiers.
Dans l'après-midi, nous sommes allés visiter une mare sacrée remplie d'énormes silures (poissons-chat). Le féticheur local égorgeait des poulets pour guérir les patients qui venaient lui rendre visite.
Nous avons aussi visité un village très typique, construit en terre rouge. Un certain nombre d'hommes étaient ivres, imbibés de bière de mil, pendant que les femmes se crèvent au travail.
Nous avons rattrapé le retard, au niveau du texte. Nous tenterons d'ajouter les photos dès que nous trouverons des connexions plus rapides.

Mopti, Djenné


Nous sommes allés visiter une des plus belles villes du Mali et la plus grande mosquée d'Afrique de l'Ouest construite en banco (terre + paille).
Puis nous avons repris la route vers le sud jusqu'à Bobo Dioulasso, au Burkina-Faso.
Plus rien ne nous arrive, c'est presque triste.
Ah ! si, la climatisation est en panne et il fait de plus en plus chaud. Et nous sommes couverts de poussière, étant donné que nous roulons les fenêtres ouvertes.
Demain, si Dieu le veut, la clim sera réparée !

Jeudi 24 et vendredi 25/01 - Pays Dogon


Le chauffeur a fait une nouvelle réparation de fortune, mais 2 pneus neufs nous étaient envoyés de la capitale Bamako et nous avons pu les récupérer (à l'africaine !), ce serait trop long à expliquer.
Confiants dans notre nouveau matériel et notre bonne étoîle, nous sommes partis pour le pays Dogon : paysages magnifiques, villages spectaculaires (les photos suivront).

Mercredi 23/01 - Rencontre avec les éléphants


Le matin, nous sommes partis avec un guide pour voir des éléphants dans une zone de grande superficie. Nous avons fait une bonne cinquantaine de kms par la piste puis une quinzaine dans la brousse. Les conseils éclairés de bergers nous ont permis d'atteindre un troupeau d'éléphants se déplaçant dans la brousse. Nous les avons approchés à une vingtaine de mètres : frayeur assurée.
Après un repas frugal, nous reprenons la route, car l'étape est longue avant d'atteindre Mopti.
Et là, 2 nouvelles crevaisons neutralisaient notre véhicule, alors qu'il faisait nuit.
Par une chance inouïe, un 4x4 de la Communauté Européenne s'est arrêté 10 mn plus tard et nous a proposé sa roue de secours qui chose incroyable, était de même dimension que notre pneu.
Nous avons pu ainsi rejoindre Mopti avec beaucoup de retard et une tension nerveuse à son comble.

Mardi 22 janvier, Hombori




Nous avons quitté tôt, Gao pour nous rendre vers Mopti avec une halte prévue à Hombori où de magnifiques paysages dignes du far-west nous attendaient. Sur la route, nous avons dû faire face à un premier éclatement du pneu réparé la veille. Et quelques minutes plus tard, c'était la roue de secours qui crevait ... Nous avons fait face à cette situation en arrêtant un bus - local voir photo - qui nous a emmenés à Hombori. Notre chauffeur repartant dans l'autre sens, en stop, pour essayer de faire réparer ses pneus. La magie africaine, cela existe, car il nous retrouvait fort tard le soir à Hombori.

Environs de Gao, Lundi 21/01






















Découverte matinale des richesses de Gao : le tombeau des Askias - une sépulture musulmane de 1495= un mini Sakarrah - de style soudannais construit en banco (notre pisé), puis les ruines (en recherches archéologiques actuelles) de Kankoun Moussa qui a fait écrouler le taux de l'or en Afrique car il a donné tout le sien, et même plus, en allant en pélerinage à La Mecque (les filles nous sont dit de garder le notre, or). Après une petite dégustation de Capitaine grillé (poisson typique du fleuve Niger), nous avons fait une virée par la piste pour atteindre Bourem, gros village sur le fleuve Niger : superbes paysages et découverte du Mali Sahel profond. La piste, très difficile alternait le sable et les rochers coupants, ce qui nous a valu de couper un pneu. Le chauffeur a fait réparer de façon sommaire son pneu dans le village de Bourem.
Au retour, nous nous sommes ensablés tout près d'un autre pick-up, lui-même enlisé. Ce véhicule surchargé en poids et en hauteur de matériels de contrebande était en provenance de Mauritanie. Le premier accueil fut très frais, mais nous étions dans les mêmes difficultés et nous nous sommes entr'aidés. Nous avons pu ainsi rejoindre Gao avec beaucoup de retard. Mais nous étions ravis de cette journée, de la beauté des paysages et de la gentillesse des habitants des villages complètement perdus dans la brousse.

Dimanche : Nous tentons de quitter le Niger




Après cette visite très colorée et très animée du marché d'Ayoro, nous avons recherché un nouveau véhicule. La 1ère option proposée par Francine et Françoise a été rejetée, car les 2 petits ânes (photo à venir), faisaient trop de ruades.
La 2ème option retenue fut un spendide 4x4 dans lequel nous avons négocié 4 bonnes places normalement occupées par 7 africains.
Petite devinette : lors de notre départ effectif, combien y avait-il de personnes dans le 4x4 ?
Langue au chat ?
Le chauffeur, 4 blancs (nous), 9 africains dans la malle, 3 africains sur le toit, un mouton parmi les 3m3 de bagages sur le toit. A chaque contrôle de frontière, les africains du toit descendaient 1 km avant, prenaient les chemins de traverse et nous les retrouvions 1 km plus loin. C'était toujours eux qui nous attendaient, car vu la rapidité des policiers pour contrôler nos 4 passeports ...
Et maintenant, on vient de se faire contrôler sur la piste, car le chauffeur et moi n'avions pas la ceinture de sécurité !
Question aux lecteurs : d'après vous, les 9 personnes dans la malle l'avaient-elles ? Et ceux sur le toit ? Et le mouton ?
L'aventure s'est poursuivie lors de notre entrée au Mali où notre chauffeur voulant faire des économies, a décidé de compléter son réservoir avec du gas-oil acheté aux contrebandiers algériens. Ce gas-oil de très mauvaise qualité, est en général, complété avec du pétrole. Bilan de l'opération : nous avons mis 10 h 1/2 pour faire 270 kms, avec plus de 50 arrêts pour réamorcer la pompe à gas-oil. Nous sommes enfin arrivés à Gao à 1h30 du matin.

Dimanche 20/01: le marché d'Ayoro




Le marché hebdomadaire – où sont aussi proposés des dromadaires - de Ayorou s’est révélé comme espéré très intéressant : une foule bigarrée très accueillante et sympathique, une multitude d’étals de nourriture, outils et habits … Mais aussi les animaux : bovins, ovins et donc dromadaires : parmi ces derniers nous aurions mieux fait d’en marchander 2 ou 3 performants pour regagner Gao/Mali, notre étape suivante !! (voir + loin). Mais ce marché nous a permis d’être économes grâce à un super graillou de nouilles à la tomate pour 1,5 € (pour nous 4 évidemment).

Dimanche 20 Janvier : l'aventure continue !


Hier soir (samedi 19), on nous a appris que le "beau" 4x4 bien confirmé ne pourrait pas partir car le chauffeur était indisposé ! Un jour 1/2 de recherche de véhicule et tout est à recommencer. Nous avons décidé de prendre l'attitude africaine et de ne pas nous en faire. Nous sommes donc allés voir notre spectacle touareg ... transformé en musique nigérienne. Une belle diva (y compris par la taille) chantait fort bien, accompagnée de deux jeunes (gazelles), qui dansaient à merveille.
Ce matin, le petit-déjeuner prévu à 7 heures est arrivé à 8 heures. Nous avons mis à profit ce temps pour rechercher un nouveau véhicule pour remplacer le 4x4 défaillant.
La première option, véhicule à 4 pattes (dromadaire : photo à venir), fut rejetée à l'unanimité car la consommation en eau est excessive (80 l.) et le confort laisse à désirer.
La 2ème option fut la bonne. Un taxi de brousse, petit combiné tout neuf, de couleur verte (couleur de l'espoir), et affichant plus de 3 millions de kms au compteur, entièrement climatisé (il restait encore quelques vitres aux portières), rempli de moustiques (domptés par la bombe anti-moustiques de Françoise). Nous avions confiance, car il était rempli de pièces détachées, y compris un joint de culasse utilisé déjà plusieurs fois.
Les prières de notre ami le prêtre vaudou béninois de Grand-Popo ont été efficaces car nous sommes arrivés sains et saufs au marché d'Ayoro.

Reprise de nos émissions ...

Nous nous excusons auprès de vous tous mais depuis le samedi 19/01, nous n'avons pu accéder à Internet. Nous sommes actuellement au Burkina-Faso après avoir visité le nord du Mali. Nous allons tenter de rattraper notre retard et vous faire part de nos différentes aventures. La communication internet étant tellement mauvaise ici, dans un premier temps, nous allons décrire les journées précédentes et nous ajouterons les photos dès que possible.

samedi 19 janvier 2008

Journée de repos et de négociations à Niamey

Notre 4x4 et notre chauffeur béninois sont repartis vers Cotonou. Nous recherchons un nouveau moyen de transport pour nous emmener de Niamey à Gao, au Mali.
Les transactions ont été difficiles et nous venons de décrocher le gros lot : un 4x4 flambant neuf affichant 1million 250.000 kms, sans climatisation, les vitres sont bloquées et les sièges sont défoncés. On peut vous assurer qu'ils sont remplis de ressorts. Comme toujours, en Afrique, il faut positiver : notre chauffeur est aussi mécanicien ... paraît-il ! Et comme nous sommes jeunes et en bonne santé, pas de problème !
Nous avons mis à profit cette journée de transition pour continuer la visite de Niamey. Ce matin, c'était au tour du Musée National qui affiche un panorama du "meilleur" du Niger. C'était un peu (beaucoup) poussiéreux mais nous avons cependant apprécié quelques pavillons, en particulier ceux montrant les costumes locaux anciens.
Nous avons aussi eu la grande surprise de voir des magnifiques squelettes de dinosaures très bien conservés (peut-être par la poussière). C'est vraiment très impressionnant : un vrai Jurassic Park.
Ce soir, nous allons fêter notre départ du Niger en allant à un spectacle de musique et de danses touareg.

vendredi 18 janvier 2008

Des girafes partout







A Kouré, nous avons eu la chance de pouvoir photographier des girafes par une, ou par deux ou par trois individus regroupés en petits troupeaux ! Trêve de plaisanterie, c'est toujours un émerveillement que de voir ces animaux paisibles et majestueux, mais tout aussi curieux de voir ces petites bêtes que l'on appelle des "hommes" venir chez elles pour les cotoyer et observer en silence. Un beau moment de plus dans cette virée africaine. Par contre un apm plus difficile à négocier un taxi-brousse pour rejoindre Gao au Mali, dimanche, via le marché de Ayourou à la frontière nigerio-malienne. En parlant de grosses bêtes je peux vous indiquer que je suis en train de me faire "bouffer" les mollets par les moustiques (après les fourmis rouges de l'autre jour je me demande ce qu'il va en rester au retour ?)

Niamey et sa région




Nous voici donc au Niger - et sur le bord du fleuve du même nom - comme prévu. Vous avez panorama de capitale vu de la rive gauche où se situe la ville. Le pont Kennedy qui donne accès à l'avenue F. Mitterand, peu éloignée de l'av. du G. de Gaulle et des av. de la Liberté, de l'indépendance ... Nous connaissons Niamey comme notre poche .... depuis hier. Pour ce qui est de la région nous avons visité villages voisins de Kouré, où sont établies les ethnies djerma ou haoussa majoritaires, suivis des touareg à 2%. Vous avez vues respectives ...

Anniversaire et liberté

Eh oui, Françoise voulait profiter de sa prise d'une année de plus pour affirmer autonomie et liberté. Aaussi dans la forêt des hippo, elle est partie sur un zem piloté bien jeune !, devant nous, dans la profonde forêt où nous avons progressé normalement à pied pour notre part. Et on l'a perdue durant plus d'une heure pour la retrouver un peu esseulée au coin d'une piste. Bon ! elle ne le refera plus parait-il ... ? Ce faisant l'anniversaire s'est donc passé en pleine forêt aussi, mais au milieu des animaux sauvages. Et de le fêter plus honorablement le lendemain autour d'une bouteille de vin rouge d'AfSud bien corsé ! Et maintenant pour de nouvelles aventures ....

jeudi 17 janvier 2008

Retour arrière sur le 14/01

Avant d'entrer dans la réserve, nous avons fait une intrusion au Togo. Dans cette partie nord le pays est très pauvre. Le midi, nous avons souhaité déjeuner. Le seul petit restaurant (maquis) ouvert, nous a proposé une seule part de poulet (que les os) et il restait aussi 2 parts de rat ... Nous avons préféré faire demi tour et rentrer à nouveau au Bénin pour nous restaurer. Il est vrai qu'un tel menu la veille de l'anniversaire de notre amie Françoise ne correspondait pas au repas que l'on voulait lui offrir.
Et Henri-José (notre cousin de Lille) croit que l'on s'amuse !

Animaux sauvages







Sauvages ils sont car moins au contact des flux touristiques comme dans les autres réserves africaines : et quand on les voit et approche, alors quel plaisir d'observer ces beautés , même si je préfère la petite chatain cornue à l'imposant mastodonte gris qui vient vers moi ! Et au passage, merci à nos amis béninois de sauvegarder ces richesses naturelles dans la réserve du Pendjari au nord du Bénin, contre le Burjkina et le Niger : puisque nous parlons du Niger nous sommes arrivés à Niamey, d'où nous poursuivrons cette leçon de choses ...

Détente


Nous nous sommes accordés un petit moment de détente, et un bain pour les moins vrais frileux : ceux qui connaissent reconnaitront ! Ceci au passage des chutes de Kota, puis de Tanougou (photo)

Les productions




La terre est riche et arrosée durant la saison humide - nous sommes en début de saison sèche - ce qui permet au Bénin d'être producteur important de coton : ce qui se vérifie lors des innombrables croisements de camions (hyper)chargés de coton en vrac, ou des nombreux stockages villageois le long des routes. Les hameaux ont aussi leurs greniers à grains, surprenants dans leur géométrie !

Toujours la nature autour de nous




La nature et ses beautés y compris giganteques : nous parlons encore du oh ! combien surprenant baobab, mais connaissez vous sa fleur ? La voici à côté de son support ...

Des rencontres insolites











Rencontres insolites pour nous seulement, mais quand même surprenantes : les ventes d'essence (de contrebande, si l'on peut dire comme cela), de farine de mil, de services divers ...

Du sud vers le nord




Nous avons dû avec regret quitter les bords du Golfe de Guinée, gênés la nuit que nous étions par le bruissement des palmes au vent et le ressac des vagues sur les plages à cocotiers. Et donc de piquer vers le nord avec la découverte des palais des Rois d'Abomey. Ensuite l'observation des hippo dans le fleuve du village de Bétékoukou, mais là, une première pour nous tous : l'attaque de nos pieds et (beaux) /mollets par les fourmis rouges. Je peux vous dire que l'on tape fort des pieds pour tenter de les faire lâcher prise les diablesses ! Nous préférons de loin les calmes termites dans leurs innombrables logis le long des pistes ...

mercredi 16 janvier 2008

Réserves animalières Nord Bénin

De lourds problèmes de communication depuis Tanguieta nous obligent à reporter à Niamey (Niger) - que nous atteindrons dans deux jours - pour donner des nouvelles et infos sur cette superbe contrée et les découvertes "Nature" associées : caimans, hippo, antilopes, ...

lundi 14 janvier 2008

Sur la route du Nord



Qui veut voyager loin, ménage ...son 4X4

et des baobabs partout



En effet des baobas à tous les coins de pistes et même ailleurs. Peut-être aurons même l'occasion de goûter leurs graines en train de sécher sur les greniers des tatas ? En tous les cas ce soir c'est perdrix au menu ...

Région des Tatas Somba



Nous voilà dans le nord du Bénin, à la découverte des superbes habitations que sont les tatas : une virée par les pistes avec petite intrusion temporaire au Togo histoire de voyager un peu plus !!