Sauvages ils sont car moins au contact des flux touristiques comme dans les autres réserves africaines : et quand on les voit et approche, alors quel plaisir d'observer ces beautés , même si je préfère la petite chatain cornue à l'imposant mastodonte gris qui vient vers moi ! Et au passage, merci à nos amis béninois de sauvegarder ces richesses naturelles dans la réserve du Pendjari au nord du Bénin, contre le Burjkina et le Niger : puisque nous parlons du Niger nous sommes arrivés à Niamey, d'où nous poursuivrons cette leçon de choses ...
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